Arrivé depuis deux jours ici, ce pensionnat était exceptionnel. Lady le trouvait magnifique, mais elle le voyait plus comme un grand jardin avec son exposition qu'un pensionnat. Elle qui ne participait pas aux cours elle préférait sortir ou dormir... Ou bien même passer le temps avec d'autres sécheurs, pas en leurs compagnie mais en les cherchant. Un peu de bagarre parfois ne fait pas de mal et puis elle devait tester ses "inventions farfelus" sur d'autres. Non ne cherchez pas, elle tente de ne pas tomber dans l'ennui à sa façon.

Elle avait retrouver dès son arrivée ici, celui qu'elle était venu 'cherché' bien que finalement elle se installer dans le pensionnat. Pour elle ça allait ce passer comme ça, elle le reverrait, lui donnerait la raclé qu'il mérite puis repartirait et l’oublierait... Les choses ne sont jamais aussi simple, dès que son regard croisa de nouveau celui qu'elle n'avait su oublier, elle était retomber dans le piège de ce dernier. Il l'avait de nouveau hypnotiser et capturer. Elle ne pouvait rien y faire, elle lui appartenait. Quand il était en cours, elle traînait dehors. Elle cherchait tout le temps que faire. En général elle partait dans le parc, elle y avait trouver un petit coin isoler ou elle pouvait rester en tranquillité. Personne pour l'énervée ou la cherchée, elle y restait des heures et fredonnait souvent ou alors lisait un bon livre. Alice un grande lectrice, elle s'isole dans ses contes, elle qui ne se laisse plus avoir par des illusions futiles sauf celle d'Heaven.

Ce matin Lady ouvra les yeux lentement, elle avait très mal dormis, mais n'était pas de mauvaises humeur. Bizarrement on va dire qu'elle était d'humeur Neutre. Peut arriverait à l'énervé, seul de rare occasion y parvenait de toute manière. Elle se leva en douceur et mis du temps à sortir de son cauchemar. Elle avait rêvé que tout autour d'elle se détruisait... Ce n'était pas un cauchemar, mais un souvenir. Un souvenir qu'elle avait pourtant enterré. Regardant l'heure, elle vu qu'il était tôt, très tôt. Sa colocataire dormait encore, quoi de plus normal, pour Lady Kagura était encore une enfant. Cette fille était plus jeune qu'elle, alors forcement elle la considérait comme une gamine même si elle ne la connaissait pas encore vraiment. Une fois début, elle ne fessait pas en sorte d'être discrète, mais ne fessait pas non plus du bruit pour réveiller la petite. Le soleil n'était qu'à moitié levé, alors elle entra lentement dans la douche. Une véritable endormie ! Enfin elle le fessait exprès. Elle se doucha à l'eau chaude, vu qu'elle n'aime guère l'eau froide. << Oups >> le savon coula sur ses yeux. Elle les rinça en même temps que son corps couvert de bulles de savon et de mousse. Une fois sortie, la serviette autour d'elle on voyait clairement les gouttes d'eau qui coulait de ces cheveux. Elle se sécha le corps et sa chevelure par la même occasion. Gardant la serviette accrocher elle lissa ses cheveux, les laissant détachés. Simple aujourd'hui elle avait changer un peu ses habitudes. Allant dans son armoire, la coloc' dormait toujours elle pris une tenue dans les tons bleus et violets. Une robe, courte a lacets, encore une robe a petite fortune. Pourtant elle ne trouvait plus beaucoup de tenue à renouveler... Elle décida donc en cherchant cette tenue son activité du jour : Shopping. C'était un jour férié... En général elle le passerait avec Heaven, mais finalement il s'était passer un truc et ça ne pouvait se faire. Alors elle devait faire son petit truc à elle. Donc une visite en ville lui ferait du bien. Mettant ses bottes à talons et lacets violettes pour aller avec la robe, elle fut fin prête. Quelques petites accessoires et c'est partie. Cela lui avait pris deux bonne heures, sachant que entretenir son corps est fondamental.

Elle mis une heure avant d'arrivé à la ville qui était proche de la pension, en effet elle avait pris de nouveau son temps. Arrivé sur place c'était l'heure de déjeuner chose qu'elle fît dans un restaurant que tout le monde ne pouvait pas se payer. Plusieurs tenter leurs chances, mais avec Lady ils s'enfonçait rapidement. Plus tard, elle se retrouva dans la rue marchande où se trouvait tout sorte de stand. Accessoires, fruit & légumes, vêtements, etc... Elle était près du stand d'accessoires, mais du côté des chaussures et des vêtements. Quand tout fût chambouler. Elle vu rapidement quelqu'un bousculer une autre personne et on eu le droit à un bel étalement... Sans même sans rendre compte, Lady se retrouva par terre avec un jeune garçon sur elle. Qu'avait-il bien pu se laisser passer, aucunes idées ! L'un des vendeurs dont son stand était tomber comment ça a râler et a dire des vulgarités. Lady était prête à répondre ! Des insultes ? À elle ? Il creusait sa tombe le pauvre malheureux... Le garçon s'était relevé et s'était excusé. Il n'y était pour rien, elle était surtout énervé contre les autres imbéciles ! Quand elle comptait répondre donc, il lui pris la main et se mit à courir, à son tour elle ne pouvait faire autrement. Heureusement qu'elle savait courir avec ses talons, ça aurait été la foire sinon ! Après une bonne dizaine ne course poursuite, Lady détesta un moment le shopping dans le centre commercial banal.

<< - Enfin on les a semés ! Je suis désolé pour tout cet incident. Au fait, je m'appelle Allen et toi ?
- Pas de soucis, ce n'est pas vraiment toi le problème de l'accident. Lady Alice, mais appelle moi Lady. Répondit-elle essouffler. >>

Reprenant ses idées en place, elle était un peu sonnée par la même occasion... Elle s'était pris un garçon plus des fruits sur la tête. A coup sûre elle aurait une magnifique migraine demain doubler peut-être de quelques bosses. Une mauvaise nuit, un stand entier sur la tête... Qu'elle belle journée ! Parfois la vie n'est pas un cadeau je vous jure. Reprenant ses esprits, elle en profita pour examiner le garçon qui était avec elle. Blond, yeux bleu... Il était beau. Pas à se plaindre physiquement. Si son coeur ne battait pas pour Heaven, il aurait presque put battre pour ce garçon en extérieur... Mais maintenant il faut connaitre son caractère pour être complément sous le charme.

- La prochaine fois, essaye de ne pas te retrouver derrière moi où je te tomberai encore dessus.

Comme si elle avait demander à se trouver là ! Si on lui avait laisser le choix, elle aurait tourner les talons évidemment. Si elle était voyante et qu'elle aurait vu ça, elle serait partie. Qui serait resté là comme un idiot en connaissance des causes ? Personnes. Elle regarda Allen et repris d'un ton poser. Elle avait l'impression d'avoir déjà aperçu sa tête quelque part.

- Comme si j'avais demander à me trouver au mauvais endroit au mauvais moment moi. La prochaine que tu me tombe dessus, ça se passera autrement.

Un ton ironique et un peu d'amusement, ce n'était pas vraiment une menace mais juste une remarque d'amusement. Pas plus, pas moins. Le ciel bleu et le soleil à son zénith elle entendu du bruit se diriger vers eux. Quand elle voulu de nouveau parler une nouvelle personne les stoppa. Qu'avait-il tous aujourd'hui ? Quelque chose leur fonça dessus... Ouf, un pas sur le côté entraînant Allen avec elle et il évita l'objet. Ce que cet objet était un garçon... Plutôt sombre ?

- C'est pas vrai, c'est quoi encore ça ? Les gens en ont pas marre de foncer ou tomber sur les autres !

Parole adresser à la nouvelle personne sur place. Quel ne distingua pas tout de suite. Décidément, sa journée n'était pas bonne du tout. Heureusement qu'Allen paraissait sympa, c'était peut-être la seule consolation... Enfin elle ne se fit jamais aux apparences de départ.

Hophophop...marche arrière, camarade. Kabal avait observé le bordel sur la place marchande. Douées, les deux gamins. Un boxon de tous les diables avait envahi le lieu, et si un coup discret et bien placé n'avait fait tomber le marchand, les deux jeunes auraient eu toute la ville sur le dos. Cigarette au bec, il les avait suivis, obligé de faire un petit détour par les toits. Il avait manqué de perdre une godasse en faisant du parkour. Il verrait plus tard pour se payer un nouveau couteau, plus grand. Pour l'instant, il sauta, prit appui sur un mur, et se propulsa dans l'autre sens, ses bottes finissant par le freiner contre le sol de pierre, s'arrétant au niveau des deux jeunes gens. Il les dévisagea d'un de ses regards "robocop", de derrière ses lunettes sans tain, s'assurant qu'ils soient bien ceux qu'il recherchait.Son accent russe se fit entendre, tandis qu'un sourire s'étirait sur ses lèvres fines.

- J'aurais pu vous percuter, auquel cas je doute que vous soyez encore consciente pour vous plaindre... Enfin, politesse obligeant : je suis Vyatcheslav Kamaroff, élève (l'intonation de sa voix laissait sentir que ça ne lui plaisait pas)au pensionnat Prodiges. Désolé pour cette entrée en scène soudaine, je descendais d'un toit: depuis le début de votre fuite, vous deux, je vous piste de la haut...Beau boulot!

Seule l'intonation de sa voix laissait deviner qu'il parlait sérieusement dans la fraicheur matinale. Enfin, l'enfer brulant matinal pour le fils du pays de la neige et des loups, qui retira son blouson tant il crevait de chaud, dévoilant un T-shirt moulant, qui laissait voir la forme du torse bodybuildé de Kabal, tout comme ses bras, d'ailleurs.Et comme tout le bas de son corps, mais là, on ne le voyait pas, malgré que l'ampleur du pantalon le laissait à penser. Jetant nonchalemment son blouson sur son épaule, Kabal fit craquer ses doigts en serrant ses deux poings, et fit une petite révérence en guise de salut, avant de tirer a nouveau une bouffée de sa cigarette. Le tabac russe empestait l'air comme de la mauvaise beuh, à la grande différence près que la beuh s'adressait a ceux qui craignaient les sensations fortes. Faisant ressortir un nuage de fumée noirâtre plus que le blanc-gris habituel pour une cigarette, Kabal s'osa a parler à nouveau. Enfin, s'osa...Il se remit à parler sans gene devant les deux jeunes.[i]

- D'apres ce que j'ai entendu de la haut {il designa les toits} J'ai affaire à...Allen et Lady Alice, sauf erreur. Deux noms pas très appréciés dans les locaux de l'établissement, à moins que je ne devienne à moitié sourd et que ce ne soient pas vos noms mentionnés au secretariat quand on parle de rebelles...Enfin, j'espère que votre palmares est chargé, je cherche des gens comme vous pour faire un petit...concours.

[i]En effet, Kabal avait eu l'idée de voir si il n'avait pas perdu la main, en neuf ans de déscolarisation, et le bordel de la rue machande qu'avaient mis, à ce que pensait Kabal, les deux énergumènes était déja un bon depart. Son telephone sonna, et "Nightmare", d'un groupe du dernier millénaire (Avenged Sevenfold) retentit. Un petit coup de poing sur sa poche, et le téléphone se tut. Il prit une autre bouffée, qui ressortit, encore plus sombre que la premiere, en attendant une quelconque remarque des deux personnes face à lui.

[HRP: désolé du retard, j'avais pas d'inspi, j'en ai toujours pas, ça se voit, mais bon xD]

[Désolé du retard. .w.]

Ce qui leur avait foncé dessus arriva d'en haut... D'en haut !? Alice avait réussit à l'éviter, mais cela de justesse... Quoique elle a pour habitude de toujours tout faire à la dernière minute. C'était vraiment ce qu'on appelle une entrée fracassante. Enfin ce n'était pas le style d'entrée que Lady admirait. C'était pour la demoiselle une jolie perte de temps, mais après tout s'il aimait ce genre de chose ce n'était pas son problème. Elle regarda Allen, puis l'homme qui avait fait son apparition. Tu parles d'un retournement de journée. C'est incroyable comment une simple balade ou journée de shopping peut vous jouez des tours. Si on lui avait dit cela avant elle serait restée couchée tiens, où elle serait partie embêter son bien-aimé. Le nouveau personnage assez étrange était vêtu d'un blouson qu'il retira et plaça sur son épaule et d'un T-shirt moulant. Ses cheveux argenté augmentait son côté sombre. Aaah~ Vraiment pour Lady, Heaven était le plus beau ! Si bien qu'elle n'en trouvait plus d'autre à son niveau. C'est parfois étrange les réactions qu'on a quand on est amoureuse/amoureux. Comme si on se retrouvait avec un tout autre caractère, bien qu'elle soit restée la même, elle se trouvait différente dans certains agissements. Par exemple, si elle avait été la même que quand elle était délinquante elle n'aurait pas supporter l'entrée de ce dernier simplement parce qu'elle avait du se déplacée pour l'éviter. Violente et désagréable, elle était comme ça, enfin du moins quand elle était 'Alice'. Le garçon qui paraissait plus âgés que les deux jeunes gens prit la parole et la retira de ses fantasmes.

- J'aurais pu vous percuter, auquel cas je doute que vous soyez encore consciente pour vous plaindre... Enfin, politesse obligeant : je suis Vyatcheslav Kamaroff, élève au pensionnat Prodiges. Désolé pour cette entrée en scène soudaine, je descendais d'un toit depuis le début de votre fuite, vous deux, je vous piste de la haut...Beau boulot !

" J'aurais pu vous percuter, auquel cas je doute que vous soyez encore consciente pour vous plaindre ", prétentieux avec ça ? Ben voyons, il ne sait pas vraiment à qui il a affaire. Affirmer de tel propos ne lui est donc pas possible... C'est vraiment ironique ! Pour qui se prenait-il ? Avec son corps un peu trop gonflé pour la belle Alice. Enfin ça montrait ses muscles, mais bon.. Une fois de plus elle préférait -on sait qui-. Alors comme ça, il était un élève du pensionnat où elle était depuis quelques jours. Il y a vraiment tout style de personnes là-bas que ça en devient amusant. Un élève qui s'amuse à 'pister' les autres... Non mais vraiment, n'avait-il que cela à faire ? C'est drôle ce qu'elle trouve beaucoup de chose une perte de temps. Ce qui tracassait surtout Lady était le faite qu'il les est pisté depuis ce malheureux accident. Pourquoi faire cela ? Pour cause de Curiosité ? Parce qu'il n'avait rien d'autre à faire ? Bah, peu importe, elle finira bien par lui poser la question, enfin pour le peu que ça l'intéresse. " Beau boulot ! ", euh... C'était pas volontaire et surtout ça ne mérite pas vraiment de récompense. Sa robe était maintenant poussiéreuse, elle n'était plus aussi bien coiffée qu'elle l'était, elle était essoufflée et des types bizarres les pistaient des toits... C'est pas un beau boulot, mais une vraie galère qui a bien gâchée sa journée. Enfin, ça peut toujours devenir intéressant et puis elle a fait la rencontre de deux pensionnaires, ce qui est peut-être un bon point.

Vyatcheslav Kamaroff fumait ce qui n’arrangeait pas tout, et oui ! Alice déteste la fumée et surtout la cigarette. Pourquoi ? C'est ses affaires ok ? Elle déteste parlée de sa vie, mais ce qu'elle savait et que la cigarette lui rappelait bien trop de mauvais souvenirs. Bien qu'elle se soit souvent salie plus jeune, elle n'avait jamais touchée à ce poison. Le faite qu'il lui parle avec l'odeur de la clope la dérangeait et surtout l'agaçait. Elle allait devoir faire en sorte d'y remédier. Il repris la parole avant de refaire une bouffée de fumée, ce qui apparemment déplaisait aussi à Allen. Lady est assez observatrice, pour être manipulatrice comme elle, il le faut bien.

- D'apres ce que j'ai entendu de la haut, j'ai affaire à...Allen et Lady Alice, sauf erreur. Deux noms pas très appréciés dans les locaux de l'établissement, à moins que je ne devienne à moitié sourd et que ce ne soient pas vos noms mentionnés au secretariat quand on parle de rebelles...Enfin, j'espère que votre palmares est chargé, je cherche des gens comme vous pour faire un petit...concours.

Déjà connue à Prodiges ? Et bien ça n'a pas était long... Enfin ça étonnait vraiment Alice qu'on entende son nom au secrétariat.. Après tout elle ne fessait que sécher ce dont elle n'avait pas besoin. Elle s'était peut-être déjà battu avec un ou deux mecs, mais pas plus. Pour être honnête, elle était plutôt sage au pensionnat, quand on pense qu'en général, c'est vraiment un cas à problème, là elle se contentait de sécher. Le plus clair de son temps restant, elle le passait avec Heaven, ou alors c'était des moments où elle était seule et ou elle envoyait des sms à ce dernier. Elle ne provoquait pas et ne fessait pas attention quand on lui fessait des remarques. Oui en effet, ici elle n'était pas vraiment un problème si on enlève les cours séchés. Enfin il ne faut pas trop en demander non plus, elle n'a jamais participer à des 'cours' ce n'est pas maintenant qu'elle va le faire et encore moins pour un pensionnat. Et puis, mise à part le principal et Heaven, personnes ne connaissaient son talent et donc elle n'avait rien à faire dans ses cours inutiles.

Un concours ? La blague, c'est vraiment le pire qu'on pouvait rajouter à cette journée. Elle prenait ça comme un défi... Sa fierté prendrait peut-être le dessus, mais pour le moment elle n'était pas intéressée. Elle était en ville pour s'achetée de nouveaux vêtements, pas pour autre chose. C'est vraiment du n'importe quoi parfois... Mais elle ne savait pas quel était le concours, donc autant en apprendre plus. Maintenant que sa journée est gâchée autant trouver une autre activité. C'est alors au tour d'Allen de prendre la parole.

- Oui je me nomme bien Allen et elle Lady Alice. Merci pour tes compliments. Au fait, que font des gens comme vous ici ?

Malgré que cela ne les regardaient pas, répondre était la moindre des choses. Elle est peut-être considérée comme rebelle, mais elle connait la politesse et elle est plutôt sociale. Contrairement à certains qui rejettent tout le monde ou qui provoque à bout de chant.. Celle qu'elle était avant quoi. Elle s’apprêtait à répondre, mais finalement Allen n'avait, manifestement par fini de parler.

- Ne compte pas sur moi pour y participer sauf si au contraire ça en vaut la peine.

Elle décrocha un sourire à cette phrase ! C'était exactement la même qu'elle. Pas dit de la même façon, mais le même sens, la même réponse. Si ça en vaut la peine, elle pourrait peut-être faire un effort, mais si cela ne l'intéresse pas.. Elle partirait comme si de rien n'était. À moins qu'elle décide de continuer la causette avec de la prétentieux face à un concours qui ne serait qu'une perte du temps. Enfin avant de voir la suite, il faut déjà qu'il explique en quoi consiste le défi. Allen adressa alors une parole qui lui était destinée.

<< - Et toi, ça te tente son histoire de concours ?
- tu rigoles ? Je suis venue là pour m'acheter des vêtements. Je n'ai pas de temps à perdre, enfin je peux toujours reconsidéré ma réponse à son défi selon l'enjeu. Répondit-elle. >>

Elle avait répondu par la même occasion à sa question précédante, elle est ici pour le shopping tout simplement.. Une femme quoi. Que viendrait-elle faire d'autre ici seul ? Un cadeau dans le pire des cas bien que cela ne soit pas son fort, sauf avec Heaven. Néanmoins, le concours peut être amusant avec un personnage comme Vyatcheslav. Il devra se montré à la hauteur pour ses règles, où cela pourrait facilement énervée la belle... C'est bon maintenant les pertes de temps ! Lady a horreur de ça et il n'a pas intérêt à lui avoir gaspiller.

- Mon palmarès est très bien où il est... Dis-moi en quoi consiste ton concours, car si ça me déplaît tu iras cherché quelqu'un d'autre.

Par la même occasion, elle se rapprocha du garçon et lui pris la cigarette qu'il avait dans la main venait l'éteindre en l’écrasant contre le mur qui n'était pas loin. Au départ on va dire qu'elle n'y fais pas attention, mais à force ça la gonfle réellement, elle déteste tout dans cette m****. L'odeur, le goût, la fumée, la couleur... ça l'insupporte c'est tout. En fessant son geste elle repris.

- On t'a jamais appris ? La cigarette c'est mauvais pour la santé. Bien que je me fiche de ta santé ne te connaissant pas, je trouve ça désagréable que tu nous parle avec cette fumée et cette odeur de tabac.

Kabal sentit sa cigarette lui echapper des mains...Pour finir contre un mur. Baste, du tabac comme ça, c'était pas au japon qu'il en chopperait deux clopes. La intervint une remarque qui le fit éclater de rire. "La cigarette c'est mauvais pour la santé". Son rire clair résonna dans la ruelle, tandis qu'il essayait de ne pas se marrer trop fort. Il choisit de répondre d'abord à cette réplique avant de s'occuper du reste, un sourire aux lèvres. Son accent russe se fit à nouveau entendre, tandis qu'il regardait Alice à travers ses lunettes sans tain.

- Il y a bien longtemps qu'on ne me l'avait pas sortie celle là...L'odeur est un peu dérangeante, j'en conviens, mais ce n'est pas la cigarette qui va réussir là où les balles même ont échoué! Enfin, le concours est simple. Il n'est pas difficile de remarquer votre penchant pour le séchage de cours, quand on sait où écouter...Je préfère le cassage personnellement. L'objectif sera simple: celui qui parviendra à se faire exclure de ce pensionnat sans intérêt aura gagné. Tous les coups sont permis, évidemment. Quand à l'enjeu...

Il savait pertinemment qu'il finirait par écouler le bijou. Il fit craquer tous les os de ses bras et de ses mains en vitesse, faisant volontairement se relever son T-shirt. Pas pour ses abdominaux, plutôt pour les impacts de balles qui s'y trouvaient. La peau était cicatrisée, mais un joli lot de scarifications étaient visibles dans l'espace entre le haut de son pantalon et son nombril, encore caché par le vêtement. Il sortit de sa poche un petit écrin violacé, sur lequel étaient imprimés des caractères cyrilliques. La famille de Kabal n'était pas des moins riches, depuis longtemps au service de l'état Russe. Il n'était pas difficile de retourner sa veste au moindre changement de situation politique. Le sibérien ouvrit la boite tapissée de velours avec un sourire, dévoilant une émeraude de la taille de la dernière phalange de son pouce, montée sur une chaîne en argent. Il l'avait achetée pour sa belle en 2997. Avant qu'elle ne meure. Il voulait oublier cette période, et se débarrasser de ce bijou, quoi de mieux que cette idée de concours? Il referma le boitier d'un mouvement sec de la main, après avoir laissé aux deux autres le temps de bien le voir.

- Si cela ne vous suffit pas comme prix, je me demande ce qu'il vous faut... Enfin, sinon, je tiens à re-préciser une petite chose: que ce soit physique, direct, indirect, moral, tactique ou bourrin, TOUS les coups sont permis.

Un sourire sadique se dessina sur les lèvres de Kabal. Il était certain qu'elle ne suivrait pas, ni Allen, d'ailleurs. Illogique? Oui. Débile? Non. Il saisit à une main une rambarde de fer forgé sur le bord de la rue, et tira, faisant plier le métal dans un bruit de fin du monde. Histoire de montrer que si il y avait un problème, ses muscles sauraient le régler. Contrairement à son fraire, Konrad Ivan Kamaroff, Kabal se servait plus de ses muscles que de son cerveau (d'ou son rang spécial dans l'armée de "major de terrain", pour légitimer sa présence sur les zones de combat). Cela avait toujours été ainsi, et si l'un des deux rebelles acceptaient le concours, ils sauraient à qui ils ont affaire...


(no inspi sorry U_u)